Longtemps, on a cru que tous les chocolats se valaient. Qu’ils étaient un plaisir coupable, mais interchangeable. Jusqu’à ce qu’on découvre Chapon. Et là, on a pris une claque monumentale.
Car ces trésors de savoir-faire ont cette capacité unique à convoquer des souvenirs enfouis, à provoquer des émotions inattendues et à nous embarquer dans un voyage sensoriel inédit.
Mais ce qui nous a surtout bluffés, c’est la capacité de la Maison Chapon à nous faire redécouvrir ce qu’un chocolat veut — et peut — dire. Grâce à une maîtrise hors pair des techniques artisanales, couplée à une créativité sans bornes et une obsession pour les ingrédients d’exception.
Alors, on s’est mis en tête de vous faire découvrir ces chocolats phénoménaux. Mais aussi, et surtout, de vous en apprendre plus sur la marque qui les fabrique. Et sur son fondateur, Patrice Chapon, qui réinvente le chocolat depuis 1986.
Préparez-vous à en prendre plein les papilles.
Et si vous n’avez que faire de notre blabla — on ne vous en tiendra pas rigueur — on vous a négocié 10% sur tout le site avec le code NEXT10 (jusqu’au 31/05).
PS : on est tellement fans qu’on a investi dans la boîte. Pour la transparence :)
Chocolats Chapon : les spécificités d’une maison d’orfèvre
Qui est Patrice Chapon ? L’histoire d’une vocation torréfiée
Patrice Chapon, c’est l’Obi-Wan Kenobi du cacao : excentrique, visionnaire, et intransigeant sur la fève, mais sans sabre laser (juste une spatule en acier trempé). Son histoire débute dans les frimas parisiens où le futur fondateur de la Maison Chapon tripatouille ses premiers grains de cacao comme un apprenti sorcier, bien avant que la mode du bean-to-bar ne vienne agiter les foodies. Adolescent, il rêve plus de ganache que de guitare électrique – pas étonnant qu’il finisse par transcender les concours gastronomiques à la manière d’un gone qui décroche son ticket pour la finale des Nuits Sonores. Entre deux fourneaux et trois concours (dont la fameuse médaille au Salon du Chocolat), Patrice invente un style, mélangeant torréfaction décalée et audace lyonnaise ; il impose sa griffe dans le gratin des chocolatiers français et prouve que même un ballotin peut contenir LA madeleine de Proust universelle (spoiler : on finit toujours par en reprendre).
« Chez Chapon, chaque grain chante comme à la Fête des Lumières ! »

La gamme signature : ganaches, pralinés, dark milk et pâtes à tartiner
Si tu n’as jamais investi dans une boîte signée Chapon, prépare-toi à l’équivalent culinaire d’une setlist aux Transbordeur :
- Ganaches classiques et réinventées
- Pralinés feuilletés et intenses
- Dark milk : le meilleur des deux mondes
- Pâtes à tartiner : duo 150g & 290g
Les ganaches fondent en bouche comme un solo jazz sur la place Bellecour – crémeuses ou explosives selon l’humeur. Les pralinés ? De véritables crescendos croustillants façon quenelle revisitée ! Le dark milk met tout le monde KO avec son équilibre mi-lait mi-sombre – subtilité rare – tandis que les pâtes à tartiner se déclinent en formats faits pour les solistes ou les grandes tablées.
Les techniques artisanales : torréfaction, maturation et façonnage
La Maison Chapon ne plaisante pas avec l’artisanat. Ici, la torréfaction s’effectue lentement – plus lent que le trafic quai du Rhône aux heures de pointe ! Chaque lot de fèves est chouchouté pour révéler un spectre aromatique infini. Vient ensuite une maturation longue durée en cuve close (comme un Saint-Marcellin bien affiné… ou presque), suivie d’un façonnage manuel digne des meilleurs canuts du quartier Croix-Rousse. Le résultat ? Une mosaïque texturale aussi sophistiquée qu’un bouchon lyonnais étoilé… mais sans nappe à carreaux.

Les spécialités à ne pas manquer chez Chapon
Les coffrets Jardin Merveilleux : assortiment 12, 24, 56 pièces
Imagine un alignement de coffrets Jardin Merveilleux façon backstage d’un concert privé – la crème des chocolats pour toutes les grandes occasions ! Chapon décline ses boîtes légendaires en trois formats calibrés pour le partage ou l’égoïsme assumé. Attention : ici, chaque bouchée peut provoquer une collision temporelle avec ton enfance – test Proust validé, gratin non inclus (ou presque).
Coffret | Pièces | Prix (€) | Occasion |
---|---|---|---|
Jardin 12 | 12 | 32 | Noël, Saint-Valentin |
Jardin 24 | 24 | 58 | Pâques, fêtes |
Jardin 56 | 56 | 130 | Grandes tablées |
Types de chocolats inclus ? Ganaches épicées, pralinés aux noisettes du Piémont (rien que ça), dark et lait – bref, une partition complète digne d’un chef d’orchestre lyonnais. Aucune fête n’y résiste : Noël pour le chic, Pâques pour la chasse aux merveilles, Saint-Valentin pour les cœurs fondus. Sérieusement, qui offre encore des roses ?

La pâte à tartiner démoniaque : format 150g vs 290g
Le choix entre le pot 150g (snacking soliste) et le 290g (version XXL) divise les puristes comme un débat sur le meilleur bouchon de la Presqu’île. La densité chocolatée de la petite version explose en bouche – à la cuillère ou dans un yaourt fissa –, mais si tu penses être immunisé contre l’appel du cacao, oublie direct : le 290g existe justement pour ceux qui pensent qu’on peut arrêter après la première cuillère (on sait tous que c’est faux).
Petite anecdote véridique : il parait que ce pot déclenche systématiquement l’effet madeleine de Proust – instantané et irréversible. Spoiler : ça finit TOUJOURS en gratin. Pourquoi ? Mystère du cacao ou malédiction gourmande… À tester.

Le bar à mousses au chocolat : customisation et accords sensoriels
On rentre là dans l’antre du riff gustatif : le Bar à Mousses Chapon, c’est littéralement Woodstock version cacao. Tu choisis ta base (noir du Pérou ou lait onctueux), ta garniture (cacao nibs ? éclats d’amandes grillées ? zeste d’orange confite ?), et tu composes ton solo en mode Hendrix chocolatier.
L’expérience est immersive, limite disruptive – chaque mousse délivre sa propre onde sonore sur tes papilles. Grosse ambiance rock’n’roll garantie : même Obi-Wan Kenobi aurait lâché son sabre pour une cuillère !
⭐️⭐️⭐️⭐️✨

Où et comment acheter vos trésors Chapon
Boutiques physiques : Paris et Île-de-France
On ne flâne pas impunément devant une boutique Chapon sans sentir l’appel du chocolat. La maison a posé ses valises dans quelques spots stratégiques de Paris et d’Île-de-France – attention, horaires à géométrie variable selon les jours fériés (et c’est pas la peine d’espérer un miracle le lundi matin !).
- Paris 7e – 69 Rue du Bac : la MÈRE des boutiques, ambiance laboratoire vintage, ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h. Fermé dimanche-lundi, c’est la règle.
- Neuilly-sur-Seine – 52 Rue Madeleine Michelis : si tu veux croiser un PDG en quête de praliné, c’est ici. Mardi au samedi 10h-19h, parfois ouvert le dimanche.
- Chevreuse (78) – Atelier & boutique, 5 Rue Carnot : le labo originel. L’accès est plus roots (gare aux Parisiens égarés), mais tu peux humer la torréfaction en live certains jours.
À noter pour les aficionados d’Île-de-France : chaque point de vente propose dégustation, conseils affûtés et parfois ventes éphémères lors des fêtes. Pas vu, pas pris !
Achat en ligne : livraison France, Europe et international
Commander sur le site officiel Chapon ? On est loin du e-commerce plan-plan ! Le service expédie partout en France, dans toute l’Europe, et même au-delà pour les vrais fondus (Canada/USA inclus). Délais moyens : 48 à 72h en France métropolitaine ; jusqu’à une semaine pour l’international (hors incidents type canicule ou Brexit surprise…).
Les frais varient selon le poids et la zone ; dès 8€50 en France, plus pour l’international mais emballage hyper-soigné (glacières isothermes, calages anti-chocs). Les coffrets arrivent nickel chrome même après avoir traversé trois fuseaux horaires. À surveiller : option click&collect en boutique sur Paris/IDF quand t’es pressé comme un citron.
Offres spéciales et cadeaux d’entreprise : packaging et personnalisation
Chapon sort l’artillerie lourde côté corporate ! Pour Noël ou séminaire improvisé : packaging sur-mesure (rubans siglés, boîtes customisées), remerciements brodés si besoin… Minimum de commande souvent modéré sur les mini-coffrets (dès 20 unités). Possibilité d’ajouter message personnalisé ou logo discret sur l’étui. Idéal pour impressionner un client qui croit que le single origin n’existe qu’en machine Nespresso…
Astuce ? Sur demande spéciale, certains pralinés peuvent être adaptés à une palette aromatique corporate (oui oui). Fait rarissime : la maison accepte parfois de privatiser son bar à mousses pour des teams building inoubliables – là tu gagnes le respect éternel de tes collègues ET d’Obi-Wan Kenobi.
FAQ Chapon et conclusion irrésistible
Questions fréquentes sur la Maison Chapon
- Quels prix pour un coffret ? Les coffrets débutent autour de 32€ pour 12 pièces, grimpent selon la taille et la rareté des inclusions. Le 56 pièces, c’est le ticket d’or du chocolat lyonnais – prépare ton porte-monnaie (mais pas besoin de vendre ta Vespa).
- Comment conserver les chocolats ? Hors frigo ! À l’abri de la lumière et des effluves de reblochon, entre 16°C et 20°C : sinon bonjour la fonte express et boom, saveurs trahies.
- Quid de la torréfaction maison ? Oui, chaque fève est travaillée en interne sur du matos calibré comme un synthé vintage ; aucune sous-traitance industrielle, ni compromis sur l’arôme.
- Peut-on visiter l’atelier ? L’atelier Chevreuse s’ouvre parfois aux curieux lors d’événements spéciaux ou Journées du Patrimoine. Réservation ultra recommandée, nombre de places limité (et selfie avec les machines interdit !).
- Existe-t-il des dégustations privées ? Sur demande, dégustations ultra pointues organisées à Paris ou Chevreuse – option bar à mousses privatisable pour groupes ou entreprises. Attention : tu risques d’y croiser des gourmets plus affutés qu’un critique Michelin !

La vérité ? Le ballotin Chapon s’impose comme le cheat code ultime du souvenir gustatif : madeleine de Proust immédiate, cœur qui fait boum, et papilles en standing ovation. Inutile d’attendre une occasion pour foncer croquer ces créations : tester une ganache explosive ou affoler un critique aigri au bar à mousses… tout ça, c’est déjà vivre dans le gratin. Prends ton ticket sans réfléchir – tu risques juste d’y revenir, encore... et encore !