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Bienfaits des pois cassés : pourquoi et comment les intégrer dans votre alimentation ?

Les pois cassés sont sans doute l’un des aliments les plus sous-côtés de l’univers. Mais ça, c’était avant que je te révèle pourquoi (et comment) tu dois les adopter d’urgence. Attention, on ne rigole pas avec les légumineuses.

Ils sont petits. Ils sont verts (ou jaunes). Ils sont ronds. Ils n’ont l’air de rien. Et pourtant : les pois cassés sont sans doute l’un des aliments les plus sous-côtés de l’univers. Au point qu’on les a longtemps boudés, un peu par snobisme, beaucoup par méconnaissance. Sauf que voilà : nos nouveaux meilleurs potes ont plus d’un tour dans leur sac. Et pour cause : leur richesse en protéines végétales, en fibres et en micronutriments en fait un ingrédient de choix pour quiconque cherche à prendre soin de sa santé, de son budget et de la planète. Mais aussi un allié précieux pour quiconque cherche à réduire sa consommation de viande et de produits animaux. Bref, le pois cassé coche toutes les cases du super-aliment du quotidien. Encore faut-il savoir comment l’apprivoiser. Ce à quoi on répond dans cet article ultra-complet. C’est cadeau.

Les pois cassés : des pépites méconnues pour révolutionner votre assiette 🟢🟡

Qu'est-ce que ce truc, le pois cassé ? Une petite histoire croustillante (ou pas)

On ne va pas se mentir : les pois cassés, personne ne se battait pour eux à la cantine, sauf les vrais gourmets (et encore, ceux qui avaient du flair !). Or, spoiler : ce sont des survivants de l’histoire. Ces légumineuses originaires du Proche-Orient et de la Méditerranée sévissent sur les tables depuis plus de 10 000 ans ! Rien que ça. Les pharaons en raffolaient sous forme de soupe épaisse avant d’aller construire des pyramides (système digestif bétonné inclus).

« Je ne savais pas que ces petits trucs verts pouvaient être si... verts ! » — Eurydice Goudron

Au Moyen-Âge, le pois cassé était le plat du pauvre, sauf qu'il a survécu aux guerres, aux famines et même à l’arrivée de la pizza surgelée. On lui doit donc un minimum de respect – mais rassure-toi, on va aussi bien le secouer !


Petits pois, gros pois, pois cassés : la grande famille des légumineuses décryptée par Eurydice

Imagine une réunion de famille où chacun a son style :
- Le petit pois, enfant star mignonnet du printemps (cueilli jeune et tendre avant maturité – comme ton oncle qui veut rester ado à 55 ans).
- Le pois cassé, c’est l’aîné robuste : issu du même plant que le petit pois mais récolté sec, puis séché ET coupé en deux façon coupe mulet rétro. Sa particularité ? Il existe en version verte ou jaune, comme les jumelles qui se chamaillent pour attirer l’attention au bal du village.

Les pois cassés (verts ou jaunes) sont des petits pois secs, qui ont été séchés puis concassés, d'où leur nom. Ils ne sont pas une espèce distincte, mais une étape de transformation !

D’ailleurs, arrêtez tout : ceux qu’on appelle « pois cassés » sont juste des petits pois adultes qui ont pris cher avec le temps et un bon coup de lame. Bref, une légumineuse avec du vécu (et un curriculum vitae long comme un bras).


Leur look, leur couleur, leur texture : pourquoi on les aime (même si on ne sait pas toujours pourquoi)

Visuellement, le pois cassé ressemble à un rond plat bicolore – vert fluo ou jaune soleil – selon l’humeur et la variété. On dirait un mini OVNI tombé dans ton sac de vrac. Leur dégain rustique dissuaderait un influenceur food lambda mais… À la cuisson ? Révélation ! Ils se transforment en purée crémeuse ou en gratin fondant (spoiler : ça finit toujours en gratin), laissant loin derrière eux pâtes trop cuites et pommes de terre fadasses.

Le secret ? Cette texture qui file la purée à la perfection – ni crayeuse ni gluante si t’as pas deux mains gauches. Et ils absorbent les saveurs comme aucun autre féculent prétentieux.

Pois cassés avant leur métamorphose culinaire.

Anecdote d’Eurydice : "Une fois j’ai tenté d’épater mon ex avec une soupe de pois cassés… Il a fini par demander la recette à ma mère. Trahison familiale confirmée." À vos fourchettes bancales !

Plein la poire et la santé : tous les bienfaits des pois cassés, sans langue de bois (ou presque) 💪

La superstar des fibres : ton transit intestinal te dira merci (et tes amis aussi)

Accroche-toi à ta quenelle, c’est du sérieux : une portion de pois cassés t’offre jusqu’à 7g de fibres, soit quasi un tiers du quota journalier officiel. Ces fibres-là, c’est comme une vague géante qui débaroule sur les quais de Saône pour faire le ménage dans ton bidon ! Elles décrassent les intestins façon nettoyage de printemps à la Croix-Rousse : elles stimulent, elles régulent, elles font place nette (et sans coup d’éponge sale).

Les pois cassés n’ont rien à envier aux agents d’entretien municipaux – ils boostent la régularité du transit et remettent en route un système digestif endormi comme un dimanche sous la pluie à Oullins.

Bénéfices pep’s des fibres de pois cassés :
- Régularité du transit (adieu stationnement prolongé…)
- Sensation de satiété qui tient au ventre plus longtemps qu’un bouchon place Bellecour
- Santé du microbiote intestinal : ambiance « bouchons lyonnais » dans ton ventre, tout le monde trinque à la bonne humeur !

Anecdote locale : une fois, après trois jours consécutifs de gratin de pois cassés (oui madame), j’ai eu une énergie digne d’un marathonien du vieux Lyon. Spoiler : ça finit toujours en gratin…


Protéines végétales, votre nouveau meilleur pote pour un corps de rêve (ou presque)

Si t’as encore l’image poussiéreuse des légumineuses mollassonnes, update-toi vite ! Les pois cassés sont LA team gagnante côté protéines végétales (environ 24g/100g version sèche). Pour les fans de muscles maison ou les végé réfractaires aux steaks tristes : on parle ici d’un carburant qui joue dans la cour des grands ! Oui oui : gladiateurs des temps modernes ou simples mortels en mal d’énergie, même combat.

Mon avis trempé dans le vinaigre : je me sens bieeen plus légère et pleine d’allant après un plat roboratif aux pois cassés qu’après trois diots gras. Pas besoin d’être culturiste ou vegan intégriste pour apprécier ce sentiment d’avoir mangé « juste ce qu’il faut ». Et… jamais faim deux heures après. C’est pas magique ça ?


Index glycémique bas : la potion magique pour les diabétiques et les gourmands raisonnables

Les pois cassés – verts ou jaunes – sont des champions de l’IG plancher : on tape dans 22 sur l’échelle officielle (c’est peanuts). Traduction pour les moldus : ils lâchent leur énergie doucement comme un funiculaire bien huilé, plutôt que comme une brique de sucre qui explose tout sur son passage.

Les pois cassés sont une excellente option pour stabiliser la glycémie grâce à leur faible indice glycémique et leur richesse en fibres.

Diabète type 2 dans ta famille ? Gourmandise chronique sans culpabilité ? Vise donc ces champions discrets – tu éviteras les ascenseurs émotionnels du sucre rapide.


Vitamines et Minéraux : le cocktail surprise pour booster ton immunité (et ta bonne humeur)

Pas besoin de potion magique ni même de praline rose : le pois cassé est blindé de vitamines B (pour l'énergie), sans oublier un pack minéral béton.
- Fer : le coup de boost anti-fatigue (bye-bye tête dans les étoiles après midi)
- Phosphore : mémoire affûtée pour retenir toutes mes recettes !
- Potassium : équilibre acido-basique réglé comme une horloge aux Halles Paul Bocuse.
- Calcium & Magnésium : os costauds et zen attitude même face à belle-maman.
Tout ça planqué dans un petit rond sec qui n’a pas besoin d’être instagrammable pour être utile.


Le pois cassé, champion du rapport qualité-prix (et de la durabilité, cocorico !)

J’annonce direct : y’a pas mieux côté économie ET écologie. Les pois cassés sont cultivés localement en France (#cocorico), ils coûtent trois fois rien au kilo mais te nourrissent aussi bien que n’importe quel plat qui fait vroum-vroum sur TikTok. Leur culture demande peu d’eau, zéro pesticide relou et bonus : ils fertilisent les champs naturellement grâce à leur don inné pour fixer l’azote au sol. Même Superman fait pâle figure !

Checklist économique & écolo des pois cassés :
- Petit prix mais grosse valeur nutritionnelle 🤑
- Zéro gaspillage en cuisine car ça se conserve mille ans dans ton placard (presque!)
- Production locale = faible bilan carbone 🚲
- Favorisent des sols vivants grâce à leur super-pouvoir azoté 🌱
- Parfaits pour réduire la viande sans pleurer sur son steak !


Santé cardiovasculaire et effet rassasiant : comment un pois peut te sauver la mise

Un menu riche en pois cassés favorise un cœur content et calme ! Les fibres réduisent le mauvais cholestérol comme si elles vidaient ta tirelire des mauvaises pièces… En prime, c’est ultra-rassasiant : fini les fringales sournoises entre deux réunions Zoom ou deux coups de rosé.

Note Eurydice : ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ /5 Pour l’effet coupe-faim longue durée ET protection cardio – personne fait mieux chez moi ! Tu veux garder ton bidon au top ? À vos fourchettes bancales !!

Comment intégrer ces champions dans votre cuisine sans se prendre la tête ? (Spoiler : c'est plus facile que de battre sa belle-mère) 🍽️

Trempage ou pas trempage ? Le grand dilemme des pois cassés

On attaque direct LE grand dilemme : faut-il faire tremper les pois cassés ? Eh ben, spoiler : tu peux souvent t’en passer ! Contrairement à leur cousin le pois chiche (lui, il adore le spa nocturne), nos pois cassés n’ont pas de peau coriace. Donc, pas besoin de trempage obligatoire. Cela dit : un p’tit bain d’1h dans l’eau froide peut accélérer la cuisson et adoucir ton bidon (et accessoirement, réduire la symphonie intestinale du lendemain).

Le trempage n'est pas toujours obligatoire pour les pois cassés, mais il peut aider à réduire le temps de cuisson et, potentiellement, les effets gazeux.

Perso ? Je ne trempe que quand j’y pense (soit une fois sur trois). Résultat : personne n’a jamais lancé de manif devant ma cuisine. À vos fourchettes bancales !


La cuisson, cette étape cruciale (mais pas effrayante, promis !) : astuces d'une pro

Allez, range ton extincteur : cuire des pois cassés, c’est plus simple que nettoyer son frigo après un apéro raté. Verse tes pois cassés rincés dans une grande casserole avec 3 fois leur volume d’eau non salée. Porte à ébullition puis laisse mijoter à feu doux 40 à 60 minutes si t’es du genre patient ; sinon cocotte-minute : 20-30 min et c’est plié.

Astuce anti-mascarade : sale seulement en fin de cuisson et vérifie la tendreté (ils doivent s’écraser facilement entre deux doigts mais pas devenir mousseux sauf si tu veux une purée… et là, on est copains).

Pois verts ou jaunes ? Même combat ! Les verts auront un p’tit goût herbacé tandis que les jaunes font plus « soleil couchant sur la Saône ».

Pour ceux qui veulent tout savoir sur la cuisson en cocotte minute chez les cousins chiches : Cuisson des pois chiches en cocotte-minute : guide express et astuces.


Recettes express pour les pressés (et les maladroits) : soupes, purées, galettes veggie et autres miracles

Si t’as moins de temps qu’un chef étoilé le samedi soir, le pois cassé se plie volontiers en quatre pour sauver ton diner.
- Soupe veloutée express : Fais revenir un oignon émincé dans l’huile d’olive. Ajoute 200g de pois cassés rincés + 1 litre d’eau + une carotte coupée. Laisse mijoter jusqu’à tendreté (30-40 min). Mixe avec sel/poivre/herbes fraîches. Basta.
- Purée doudou : Cuire les pois cassés comme ci-dessus avec pomme de terre et ail. Égoutte puis écrase à la fourchette ou au mixeur avec un filet d’huile d’olive ou crème végé (même ta belle-mère ne dira rien !)
- Galettes veggie : Mixe pois cuits + oignon + épices + flocons d’avoine. Façonne des petites galettes et poêle-les quelques minutes.
À servir chaud/froid/sur le pouce/à la diable… Personne ne râlera sur la simplicité !

Bol de pois cassés verts et jaunes entouré d’herbes fraîches.

Les pois cassés, stars des régimes : végétarien, vegan, IG bas... tout le monde il est content !

Le pois cassé a tout compris à la vie moderne (sans coache Instagram). Il coche toutes les cases : protéiné pour végé/végans qui veulent muscler leur assiette ; IG bas pour éviter le crash sucré après déjeuner ; naturellement sans gluten et ultra rassasiant.

« Avec les pois cassés, pas de chichis : ils s'adaptent à tous les modes de vie, comme un bon doudou qui réconforte. »

Un coup de baguette magique dans ta cuisine : hop ! Ils remplacent viande ET féculents sans pleurnicher ni coûter un SMIC au kilo. Qui dit mieux ? Tout le monde il est content !


Association gourmande : avec quoi marier vos pois cassés pour un plat qui déchire ?

Place au fun gustatif ! Le pois cassé adore se faire des potes dans l’assiette.
- Herbes fraîches : coriandre pour twist oriental ou thym/laurier façon terroir costaud.
- Epices : curry doux ou cumin si tu veux voyager sans passeport.
- Légumes croquants : carottes sautées, poireaux fondants ou céleri branche – ça matche toujours.
- Fromage fondu (pour non-végétaliens) : chèvre frais ou comté râpé en gratin – je préviens direct que ça tape fort niveau plaisir !
- Toppings gourmands : oignons rouges caramélisés, noisettes torréfiées ou même truite fumée… Oui madame/monsieur.
L’erreur serait de croire qu’ils s’ennuient vite – ces petits ronds supportent mille fantaisies culinaires ; ose tout mixer jusqu’à trouver TA signature qui claque.
À vos fourchettes bancales !!

Les petits pièges à éviter (et comment les déjouer avec panache) 🚧

Attention aux flatulences : comment réduire les effets secondaires (indésirables, disons)

Parlons franchement : qui n’a jamais accusé le chien après un bon gratin de pois cassés ? Personne n’est dupe. Les légumineuses, c’est comme le karaoké après minuit : ça finit souvent par sortir en bruit et en odeur. MAIS – Eurydice Goudron a plus d’un tour dans son tablier pour que tu puisses déguster ces merveilles sans avoir à fuir discrètement la pièce.

D’abord, bonne nouvelle pour ton entourage : le pois cassé est l’une des légumineuses les moins « gazeuses » (merci la nature !). Mais si ton intestin fait la diva ou si tu veux limiter le concert du soir, retiens ces techniques éprouvées dans mon laboratoire lyonnais :
- Donne-leur un petit bain facultatif d’1h avant cuisson (le trempage aide à dissoudre les sucres fermentescibles responsables de la cacophonie).
- Rince bien avant ET après trempage : objectif, lessiver ce qui fâche.
- Fais cuire longuement et doucement (ils doivent être fondants, pas croquants !).
- N’ajoute le sel qu’en fin de cuisson – sinon tes pois deviennent têtus comme un gone affamé.
- Lance-toi petit à petit : commence par de petites quantités pour accoutumer ta flore intestinale.
- Ajoute cumin, coriandre ou sarriette pendant la cuisson : ces herbes sont reconnues pour aider l’estomac à se tenir à carreaux (ou presque).

"Ne te cache pas derrière ton petit pois (cassé). Si ça gargouille au début, c’est juste ton microbiote qui prend la vie du bon côté !"

Pour limiter les gaz, pensez à bien cuire vos pois cassés, à les manger en quantité raisonnable au début et à ajouter des herbes digestives comme le cumin ou la coriandre.

Choisir les bons pois cassés : quelques secrets de connaisseuse

Un pois cassé mal choisi ? C’est comme tomber sur une quenelle lyophilisée au marché – frustration garantie. Pour éviter l’échec culinaire ET gustatif, voici mes secrets de connaisseuse avertie (personne ne t’en parlera chez Lidl) :
- Jette un œil sur la date limite d’utilisation optimale : trop vieux = goût rance assuré !
- Préfère les emballages opaques ou papiers kraft épais qui protègent de la lumière.
- Inspecte LE sachet : grains uniformes, couleur verte ou jaune vive selon la variété. Pas de poussière suspecte ni débris inconnus…
- Privilégie local/bio si possible. C’est meilleur pour tout (sauf ton banquier).

Voici le tableau ultime pour ne plus jamais te tromper :

Critère Le Bon Choix Le Pas Top
Date Récente/à venir Périmée/pas lisible
Aspect Grains entiers/uniformes/couleur vive Poussiéreux/grains écrasés/délavés
Emballage Opaque ou kraft/fermé hermétiquement Plastique transparent/exposé lumière
Provenance Locale/Bio si possible Origine inconnue
Sachet de pois cassés verts et jaunes, grains intacts et frais.

À vos fourchettes bancales !

## Pourquoi les pois cassés sont vos nouveaux meilleurs amis verts (ou jaunes) 🥳

Tu veux la vraie vérité, cash à la lyonnaise ? Les pois cassés, c’est LA claque nutritionnelle et écolo que personne ne voit arriver (et pourtant, ils sont là depuis la préhistoire, les anciens du quartier !). Je te fais le récap’ punchy façon Goudron :

Ce qu’il faut retenir des pois cassés – à placarder sur ton frigo

  • Fibres en folie : transit huilé et bidon tout neuf garanti (oui, même après un week-end raclette…)
  • Protéines végétales sérieuses : parfait pour muscler ta fourchette SANS ruiner ton banquier (et adieu carences tristounettes)
  • Index glycémique bas : énergie longue durée sans crash de sucre ou regards hagards à 17h
  • Vitamines et minéraux à gogo : B, fer, magnésium, potassium et cie pour une immunité d’acier trempé – même sous la pluie place Bellecour
  • Économie de folie : moins cher qu’un ticket TCL, plus rentable qu’une carte de fidélité au supermarché
  • Champion de la planète : culture locale, zéro chichis, empreinte carbone ridiculement faible. Un vrai gone !
  • Super effet rassasiant : t’as faim ? Plus jamais entre deux bouchées de gratin.

Bref : Qui d’autre coche autant de cases avec autant de style et si peu d’effort ? Les autres légumineuses peuvent aller se rhabiller.

Un dernier mot d'amour pour les pois cassés et votre bidon tout neuf

Allez hop, plus d’excuse ! Fini le snobisme anti-pois cassés. Lance-toi dans l’aventure : ose l’assiette verte ou jaune, tente la purée qui réconcilie toute la famille (testé sur trois générations), improvise ta signature culinaire sur un gratin qui déchire…

Les pois cassés ne demandent qu’à rejoindre tes routines les plus folles ; ils font du bien partout où ils passent. Oublie les clichés ringards : aujourd’hui, c’est toi le boss du bidon tout neuf ET du porte-monnaie ravi.

À vos fourchettes bancales !

Spoiler : ça finit toujours en gratin !

Pois cassés prêts à être dégustés.

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