Avec cette recette ultra facile, régalez-vous en seulement 5 minutes de préparation. Découvrez nos astuces et variantes pour la personnaliser à l’infini.
Saviez-vous qu’en moyenne, on croise 16 personnes dans notre vie portant le même prénom que notre ex ? La mémoire associe souvent ce prénom à des souvenirs négatifs, créant un sentiment de malaise.
Ce qui m’a donné une idée : créer une recette aux effets inverses. Une madeleine de Proust qui évoque des souvenirs heureux, et réconforte les coeurs un peu cabossés.
Le résultat ? Une courge butternut rôtie au four, ou mieux encore : un gratin de butternut ultra crémeux, à la fois simple et audacieux.
Le tout en seulement 5 minutes de préparation.
Mais attention : préparez-vous à cuisiner votre prochain classique intemporel.
La recette complète juste en dessous ↓
Comment réussir votre butternut rôtie au four en un tour de main
Oubliez les sorciers de cuisine, ici c’est du sérieux : une courge, un couteau et mes mains propres (presque). Qui aurait cru qu’un simple cadrillage sur une butternut pouvait déclencher l’extase d’un geek ET la fierté d’une grand-mère lyonnaise ?
Le secret de la découpe en cadrillage (spoiler : ça finit toujours en gratin)
Découper la butternut comme un damier, c’est le cheat code du crousti-moelleux pur beurre de Lyon. On incise profondément sans trancher la peau, chaque carré suinte ses caroténoïdes comme si Bowser lui-même voulait kidnapper ce trésor orangé. C’est pas que pour frimer :
Résumé clé
- Cuisson homogène : chaque carré attrape la chaleur uniformément.
- Les entailles permettent aux épices de pénétrer profondément dans la chair de la courge.
- Look pixelisé irrésistible pour Instagram ou impressionner vos invités.
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Anecdote qui tâche : J’ai déjà croisé une butternut qui résistait plus qu’un coffre-fort Gringotts ; il m’a fallu sortir le marteau à purée… et finir en velouté !
La position bombée : pourquoi poser la peau vers le haut
Allez, on inverse les habitudes ! Peau VERS LE HAUT, sinon rien ! Ce n’est pas juste du spectacle : cette méthode concentre les flux magmatiques du four pile sous l’écorce, créant une pulpe presque confite à la mâââchoire fondue.
Cuisson peau dessous | Cuisson peau dessus |
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Pulpe molle mais jamais dorée | Chair caramélisée à cœur, bords croustillants |
Les épices fuient | Invasion totale des saveurs |
Texture uniforme (bof) | Contrastes dignes d'une trilogie culte |
La température idéale (et comment la vérifier sans thermomètre)
Pour ceux qui ont perdu leur thermomètre dans une faille spéléo ou chez un ex (courage !), fiez-vous à mon test du cure-dent façon sabre laser. Plongez-le dans la chair – écoutez bien ! Si un "pop" sec retentit et que le bois ressort sans résistance chelou… C’est prêt pour l’attaque finale.
Ingrédients et préparation étape par étape
Qui me dit qu'il y a trop d'épices, je l'envoie trier les lentilles dans le Vieux-Lyon ! Voici ma liste d'aventurier culinaire, façon inventaire de spéléo qui ne recule devant rien :
Ingrédient | Quantité |
---|---|
Courge butternut | 1 (environ 1,2 kg) |
Huile d'olive extra | 3 cuillères à soupe |
Paprika doux | 1 cuillère à café |
Curry | 1 cuillère à café |
Curcuma | 0,5 cuillère à café |
Zaatar | 1 cuillère à café |
Herbes de Provence | 1 grosse pincée |
Cannelle | Une mini pincée |
Ail frais ou semoule | 2 gousses ou équivalent |
Pignons de pin | Une poignée (optionnel) |
Parmesan râpé | À volonté pour gratiner |
Et oui, je rajoute toujours un peu plus de pignons parce que personne ne s'est jamais plaint d'être trop gourmand !
Préparation express : épluchage, graines et découpe
Allez, on enfile la frontale et on attaque la bête. Même Terry Pratchett n'avait pas imaginé une épopée aussi corsée dans ses donjons.
- Éplucher la butternut (peau coriace comme un troll !)
- Couper en deux sur la longueur. Attention aux doigts, sauf si t'aimes cuisiner de la chair humaine...
- Vider les graines avec une cuillère bien costaud. Un vrai trésor pour la récup: tu peux griller les graines !
- Cadriller profondément la chair sans transpercer la peau (cf section précédente), mode damier activé.
Anecdote véridique : Une fois j'ai ouvert une butternut tellement sèche que j'y ai cru trouver des fossiles préhistoriques. Spoiler: c'était juste un vieux morceau de girofle oublié l'an passé…
Le badigeonnage : huile, curry, zaatar
Ici on sort le pinceau du chaos – j'arrose la pulpe d'huile d'olive infusée au curry, paprika et zaatar. Ça coule comme un graffiti culinaire sur tout le damier ! J'ajoute l'ail pressé (et je préviens les hérétiques anti-ail : partez avant l'apocalypse gustatif).
J'avoue, ceux qui crient "trop épicé !" n'ont jamais saisi le sens du mot goût. C'est pas avec un nuage de sel qu'on va conquérir Hyrule ni ramener l'amour-propre après une rupture.
Variantes savoureuses et inspirations déjantées
Dans mon labo de chef–spéléo, chaque butternut se rebelle et réclame sa garniture signature. Laissez tomber la normalité : ici, on farcit, on gratine et on twiste avec l’énergie d’un Mario déchaîné sur son kart !
Butternut farcie au chèvre frais et pignons de pin
Par ici le fondant à la mâââchoire fondue : je chope une demi-butternut rôtie, je creuse un peu le cœur (attention, pas besoin d’aller jusqu’au Mordor), puis je tartine violemment du chèvre frais. Pignons de pin grillés (pas carbonisés) à la pelle, un trait de crème fraîche pour le liant… et zou, retour au four 10 minutes ! Résultat ? Ça dégouline de douceur salée–noisettée. C’est si bon que j’y ai déjà laissé une larme en cuisine.
👍👍👍👍
Gratinée aux lardons façon bouchon lyonnais
Là ça tape PUR BEURRE de Lyon ! Je balance des lardons bien gras à la poêle jusqu’à ce qu’ils chantent. J’incorpore dans ma butternut rôtie, parmesan râpé à mort dessus… et hop sous le grill. L’alliance du crousti des lardons et du crémeux lyonnais vaut tous les sorts d’Harry Potter.
“Un gratin trop crémeux ? Soigner un cœur brisé en une bouchée !”
Version vegan : crème de coco et herbes de Provence
Pour ceux qui veulent goûter sans brouter les produits animaux : je nappe la chair d’une crème coco bien épaisse, saupoudrée d’herbes de Provence + curcuma. Et là, romarin passé vite fait sous le grill pour le croquant !
- Utiliser levure maltée (goût gratiné garanti)
- Noix de cajou mixées + citron (effet faux-parmesan bluffant)
- Chapelure panko toastée à l’huile d’olive (pour croustiller sans vache)
Twist exotique : paprika doux et cannelle
Envie de voyager sans SNCF ? Mélange paprika doux façon Hongrie et poudre de cannelle – tu reçois direct un parfum ultra-souk oriental. Si tu ne sens pas l’appel du désert entre Rhône et Saône… demande un reboot gustatif !
Astuce du chef et accords gourmands
Oubliez le sel, le poivre et les mélanges tous faits de supermarché : ici, c’est un festival d’audace, direct des souterrains de la Presqu’île !
Les épices inattendues (curcuma, cumin, zaatar…)
J’ai testé plus d’épices sur la butternut que de Pokémon dans une Pokéball. Le curcuma ? Sa couleur fluo donne un glow limite radioactif à la chair – niveau Instagram, tu bats tous les influenceurs vegan du quartier.
Le cumin, lui, ajoute une profondeur abyssale : un souffle d’Orient qui rend ta courge aussi magnétique que le regard d’un Gollum devant son précieux. Et je termine avec le zaatar – ce mélange levantin te catapulte direct dans la stratosphère gustative !

Accompagnements maison : riz pilaf, lentilles vertes, salade croquante
Finis les plats solo ! J’accroche ma courge à trois sidekicks de folie :
- Riz pilaf infusé au citron confit et raisins secs (niveau Indiana Jones qui découvre l’Arche des saveurs)
- Lentilles vertes cuites façon "précieux", ail rôti et thym (Gollum aurait vendu un anneau pour ça)
- Salade croquante radis/noix/granny smith pour le contraste qui claque entre chaud et froid

Comment sublimer les restes (soupe, risotto, tartine deluxe)
Pas question de laisser filer la moindre miette ! Je recycle en mode boss final :
- Mixe ta butternut rôtie avec bouillon + crème = velouté velours, à faire pâlir Hermione Granger.
- Réutilise-la en base pour un risotto crémeux avec parmesan et éclats de noisettes torréfiées.
- Ou bien tartine sur pain grillé avec chèvre frais & pignons pour une tartine deluxe façon brunch lyonnais intergalactique.

FAQ croustillante (Toutes vos questions brûlantes répondues)
Même en pleine spéléologie culinaire, j’ai toujours une réponse qui pique, qui surprend ou qui frôle le blasphème gastronomique. Ici, pas de langue de bois — que du vécu, de l’expérimental et un peu d’insolence !
Quelles épices se marient le mieux avec la butternut ?
Si tu cherches le trio gagnant pour sublimer ta courge :
- Curry pour sa chaleur enveloppante façon plaid d’hiver sur Netflix ; c’est lui qui révèle la douceur cachée sans écraser les autres goûts.
- Cannelle : juste une mini pincée, le twist secret pour arrondir les angles et envoyer un clin d’œil sucré-salé à ton palais. Douceur garantie, même pour les papilles en mode dark side.
- Paprika (doux ou fumé) : booste la profondeur, colore le plat et apporte ce côté "feu sous la braise" que même Gandalf jalouserait.
Franchement, si quelqu’un te propose juste du sel-poivre… ignore-le poliment et file direct chez moi !
Comment cuire sa butternut encore plus vite ?
Le hack ? Le micro-ondes avant four : je te jure, c’est pas interdit par la tradition lyonnaise (j’ai vérifié auprès du conseil des grands-mères). Voici l’ordre des opérations chrono:
1. Coupe ta butternut en deux (ou quart si t’es pressé grave).
2. Place au micro-ondes puissance max 5 à 7 min (peau vers le haut, filmée). Ça ramollit la bête sans perte de goût.
3. Hop, au four pour rôtir/cadriller — tu gagnes 10 minutes ET une mâââchoire fondue !
4. Ajoute épices/huile APRÈS le micro-ondes pour garder tout l’arôme.
Peut-on conserver et réchauffer sans gâcher la texture ?
Oublie le micro-ondes pour réchauffer — ça flingue tout croustillant ! Ma combine pur beurre de spéléo : four doux à 140°C avec un trait d’huile sur les bords (et p’tit splash d’eau dessous sur la plaque). Résultat ? Chair chaude mais peau toujours crispy–caramel. Jamais caoutchouc, jamais fade. Les restes ont droit au respect !
Comment gratiner sans brûler ?
Le gratinage, c’est une science occulte de grand chef ! Pour éviter charbon ou mollesse universelle : couvre légèrement la courge d’une feuille de papier alu beurrée/pincelée d’huile (face brillante dessus). Tu balances parmesan + chapelure fine AVANT d’enfourner fort sous grill. Au bout de 5 minutes, retire l’alu comme un magicien retire sa cape : effet gratiné doré mais zéro brûlé, garanti par mon syndicat imaginaire des gratins lyonnais.
À vos fourchettes bancales : lancez-vous !
On range les excuses au placard, on sort sa plus belle fourchette (même tordue par le lave-vaisselle) et on fonce tête baissée dans l’aventure ! Faut pas être né à Lyon pour manier le cadrillage, juste oser s’encanailler les papilles et se salir un peu les doigts. J’te promets : une fois la butternut domptée, gratinée à la mâââchoire fondue, t’auras du mal à revenir aux pâtes fades du lundi soir…

Allez, four en chauffe, tablier de spéléo sur le dos, et un grain de folie dans la poche : c’est ton tour de creuser profond dans la courge dorée. Si tu rates ? Tu transformes en soupe. Si tu réussis ? T’as gagné le respect éternel des vrais gourmands lyonnais !