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Recette sot-l’y-laisse poulet et dinde : toutes les étapes pour un plat crémeux réussi

Cette recette de sot-l’y-laisse de poulet et de dinde est la meilleure (et la plus simple) que vous trouverez en ligne.

13 min
Recettes Express
28 May 2025 à 18h16

Cette recette de sot-l’y-laisse de poulet et de dinde est la meilleure (et la plus simple) que vous trouverez en ligne. Préparez-vous à déguster un plat aussi savoureux que réconfortant.

Recette express de sot-l’y-laisse de poulet et de dinde

Oubliez tout ce que votre grand-tante vous a raconté sur le filet mignon – le sot-l’y-laisse, c’est la Beyoncé du poulailler, la pépite cachée, le Graal moelleux que seuls les vrais savent dénicher entre deux os (et avec une poêle qui tient la route). À Lyon, on le traite comme un VIP du terroir, assez rare pour te faire lever l’pouce chez la bouchère ! Poulet ou dinde ? Pourquoi choisir quand on peut jouer le duo gagnant ? Leurs saveurs s’accordent pour faire sauter vos papilles plus fort qu’une guinguette sur les quais du Rhône.

Ne sous-estimez jamais un sot-l’y-laisse bien saucé !

Gratin de sot-l’y-laisse de poulet et de dinde avec sauce aux légumes du terroir lyonnais

Pourquoi ce duo de volaille est la rock-star de vos poêlées

Parce qu’un gratin sans sot-l’y-laisse, c’est comme une traboule sans bouchon : triste et fade ! Ce morceau oublié possède une tendreté qui ferait pleurer n’importe quel chef étoilé du Vieux-Lyon. Mélanger poulet et dinde, c’est réunir l’élégance discrète et la volupté rustique dans votre assiette – combo gagnant pour un plat qui claque sous la dent.

Temps de préparation et de cuisson (à vos fourchettes bancales !)

  • Préparation : 15 min
  • Cuisson : 20 min
  • Repos : 5 min

Oh, et si votre minuteur est aussi fiable que les horaires du métro D : fiez-vous à votre instinct… ou au fumet qui envahit votre cuisine.

Ingrédients indispensables pour une sauce onctueuse

Vous pensez maîtriser la liste des courses ? Challenge accepté ! Voici LE tableau de bord du gourmand averti (celui qui ne laisse RIEN au hasard, même pas la Maïzena) :

Ingrédient Quantité
Sot-l’y-laisse 400 g
Crème liquide 200 ml
Oignon 1
Champignons 150 g
Thym, Persil QS
Vin blanc 50 ml
Farine/Maïzena 1 c. à s.

Duo de sot-l’y-laisse nappé de sauce crémeuse dans une poêle fumante, style lyonnais

Astuces pour choisir la crème et les herbes aromatiques (thym, persil)

Préférez la crème fraîche à la crème UHT pour un résultat plus onctueux et savoureux !

Entrons dans le dur, camarades becs fins :
- Crème entière vs allégée ? Si vous cherchez le crémeux d’un gratin de mamie, partez sur une crème entière fraîche ou fleurette. L’allégée, franchement, elle ne sert qu’à consoler votre conscience (et encore...) ; elle file vite à la casserole sans jamais napper comme il faut.
- Thym frais ou séché ? Les vrais savent : le thym frais claque sous la dent et balance direct un parfum de garrigue même à Perrache. Le séché dépanne… mais c’est comme une andouillette sans moutarde : ça manque de panache.
- Persil plat ou frisé ? Le plat c’est l’élégance subtile, le frisé c’est l’old school qui met du volume dans l’assiette – testez les deux et choisissez votre camp (perso je milite pour le plat… plus rock'n'roll côté vert !).

N’oubliez pas : chaque aromate a sa personnalité, et il ne faut pas hésiter à bousculer les codes lyonnais si ça fait swinguer vos papilles.

Préparation pas à pas (mode fainéant créatif activé)

Étape 1 : Saisir les sot-l’y-laisse pour caramélisation parfaite

Première règle du club sot-l’y-laisse : pas de morceaux mous dans la poêle !
Préparation à la sauce rock’n’roll : on chauffe la poêle — solide, pas une qui gondole dès que tu montes le feu. Un peu de beurre (pas d’huile de caniche, hein), on attend qu’il mousse… Puis on aligne nos pépites sans les toucher. Bouger les morceaux ? Mauvais plan — laisse-les se faire un tatouage doré, comme une belle croûte de vinyle collector. Le craquement qui s’élève ? C’est le solo de guitare électrique made in Bresse.

Gros plan sur des sot-l’y-laisse dorés à la poêle avec beurre et vapeur, cuisine lyonnaise

Checklist du chef en roue libre :
1. Bien chauffer la poêle (sinon, c’est la loose)
2. Placer les morceaux sans les bouger (RESISTE !)
3. Attendre la croûte dorée (à ne JAMAIS zapper, sinon c’est filet fade assuré)

Anecdote digne d’un afterwork bouchon : à Lyon, certains bouchers gardent les sot-l’y-laisse pour eux, histoire de s’assurer une soirée plus moelleuse…

Étape 2 : Déglacer au vin blanc et monter la sauce

Attention, moment dramatique ! On verse le vin blanc sec sur la viande encore chaudasse. Ça crache, ça chante – gratter les sucs sans pitié avec une spatule (les sucs collés, c’est des riffs de guitare oubliés sur scène). On diminue un peu le feu puis on incorpore doucement la crème liquide… Et là, punchline obligatoire : Chaque carotte a une âme de rock star du potager ! Remuez tout ce joli monde jusqu’à obtenir un nappage digne d’un solo sur les quais de Saône.

Étape 3 : Épaissir (farine vs Maïzena) et ajuster l’assaisonnement

La question qui divise plus que l’OL/ASSE : farine ou Maïzena ? Les deux bossent mais pas pareil ! Voici le battle du siècle :

  • Farine : plus lourd, couleur + foncée, cuisson plus longue – old school mais efficace si t’as du temps.
  • Maïzena : sauce + lisse, couleur claire, prise rapide – idéal pour ceux qui n’aiment pas attendre.

Mini-tableau récapitulatif pour briller devant tata Josiane :
• Farine : + lourd, + foncé
• Maïzena : + lisse, + clair
• Dosage classique : 1 cuillère à soupe rase pour 400 ml de liquide.
• Temps de cuisson après ajout : farine = 5 min mini / Maïzena = 2 min max !
• Assaisonnement ? Goûtez avant d’envoyer le shaker à sel – le poivre noir fraîchement moulu sauve tout plat en manque d’attitude !

Règle d’or : Une sauce bien montée transforme n’importe quel lendemain pourri en concert privé au fond du frigo.

Variantes savoureuses et marziailleries gourmandes

Le sot-l’y-laisse, c’est pas qu’un caméléon, c’est un transformiste : il s’habille comme il veut et se balade de continent en épices sans broncher ! Vous l’imaginez doucement s’endormir dans une sauce « classique » ? Non, non, non… Ici, c’est la fête des papilles qui n’aime pas la monotonie !

Version curry/gingembre façon tajine

Envie de claquer la porte au traditionnel ? Sortez direct le curry (pas celui tout sec oublié du placard, hein). L’association curry/gingembre réveille le plat comme un pogo à 7h du matin !
- Sauce : Ajoutez 1 c. à soupe de curry doux + 1 c. à café de gingembre frais râpé direct après avoir jeté l’oignon. Laissez suer, puis balancez vos sot-l’y-laisse.
- Si vous avez oublié d’acheter les épices ou que votre curry est aussi fade qu’un dimanche soir sur le périph’, testez un mix ras el hanout/safran, ça fait voyager aussi sec – et avec panache !
- Pour la touche finale : topping de coriandre fraîche, généreuse hein, pas juste trois feuilles timides (sinon ça fait déco Ikea et pas bouchon lyonnais).

Petit conseil que personne n’écoute mais qui change tout : ajoutez des carottes râpées en même temps que les champignons pour une douceur funky et un clin d’œil rock-star du potager !

Version moutarde et vin blanc à la lyonnaise

Ici on tape dans le patrimoine avec la délicatesse d’un gone affamé :
- Direct dans la poêle après avoir saisi la volaille, déglacez au vin blanc, puis ajoutez une grosse cuillère à soupe de moutarde à l’ancienne (visez les grains qui craquent entre les dents, sinon retournez sur Paris).
- Mélangez jusqu’à obtenir une sauce crémeuse et piquante – hommage ultime aux bouchons où le sot-l’y-laisse est roi… mais souvent en version cachée.
- Rajoutez un trait de crème fraîche pour napper façon soyeux Rhône-Alpes ; finissez par quelques herbes fines pour l’élégance.

Anecdote croustillante : Il y a toujours débat dans les traboules — certains ajoutent une goutte de vinaigre de vin vieux juste avant service. Les puristes crient au sacrilège mais honnêtement : testé ET validé pendant la foire aux gratins chez mémé Lucette.

Option Cookeo pour les pressés (machine à miracles !)

Vous avez 14 minutes top chrono avant l’apéro ? Le Cookeo (aka « machine à miracles », même si son design rappelle une boule anti-stress) fait le boulot sans broncher.
- Mode « Dorer » : faites revenir oignons + champignons + sot-l’y-laisse pendant 4 min avec une noisette de beurre.
- Ajoutez vin blanc, crème, aromates, épices selon votre humeur (et votre moral), lancez la cuisson sous pression 10 min. Pas plus ! Sinon ça finit en bouillie triste — et ça, c’est NON.
- Ouvrez, rectifiez l’assaisonnement direct dans la cuve. Servez brûlant avec topping coriandre ou persil plat bien vif.

Astuce que seuls les gens trop pressés connaissent : gardez un peu de sauce pour tremper votre pain du lendemain. La vraie vie commence ici.

Accompagnements et accords qui en jettent

On m’a déjà demandé, mi-sérieux, mi-gourmand : “Eurydice, on sert quoi avec ton gratin de sot-l’y-laisse, pour éviter le crime gastronomique ?” Spoiler : si tu sers une simple assiette blanche, c’est la défaite. Ici, on élève l’accompagnement au rang de side-kick — façon duo légendaire à la Astérix et Obélix du marché Saint-Antoine. Voilà la battle pop culture des trois grands : tagliatelles maison, spaghetti façon quartier Terreaux, et le riz pilaf discret mais feutré.

Pâtes ou riz pilaf ? Tableau comparatif pour gourmets indécis

Option Profil sensoriel Avantage terroir
Tagliatelles + crémeux Sauce nappe chaque boucle
Spaghetti + slurp Façon Terreaux : ça file droit au cœur sans chichi !
Riz pilaf + feutré Absorbe les sucs, discret mais toujours là quand il faut

Plat de sot-l’y-laisse gratiné avec tagliatelles maison, spaghetti à la lyonnaise, riz pilaf doré et légumes rôtis multicolores, ambiance bouchon lyonnais

Note punk : Les puristes ne jurent que par la pâte fraîche… Mais entre nous : un bon riz qui a absorbé tout le jus du gratin te sauve un dimanche soir pluvieux. #TeamAbsorption!

Légumes rôtis et purée citronnée (clin d’œil terroir)

Passons aux vrais rock-stars du plat secondaire : les légumes rôtis. Y’a pas plus funky que des carottes anciennes (pourpre inside !), patates douces ou panais balancés sur une plaque chaude à 210°C avec huile d’olive, thym frais (pas sec comme un vieux ticket TCL) et fleur de sel. C’est crousti-fondant — croyez-moi ou non, même les brocolis deviennent glamour sous cette lumière.
- Temps de cuisson : 30 min max (retournez-les à mi-parcours).
- Astuce signature : ajoutez quelques noisettes concassées dans les dix dernières minutes pour finir sur une vibe praline lyonnaise…

Maintenant la punchline acidulée qui fait swinguer le tout : la purée citronnée ultra fraîche.
- Cuire 3 pommes de terre moyennes (type ratte ou agria) dans l’eau salée.
- Égouttez, écrasez grossièrement à la fourchette — pas de pitié pour les purées lisses style cantine !
- Incorporez 1 c.s. d’huile d’olive AOP verte, zeste + jus d’un demi-citron bien mûr (bio sinon rien), sel gris et pluie de persil plat haché.
- Mélangez rapido — ça doit rester rustique ET punchy.

Purée citronnée ultra fraîche dans un bol rustique, avec zestes et quartiers de citron, entourée d’herbes fraîches et légumes rôtis colorés

Résumé express : Si vous n’avez pas remercié vos carottes aujourd’hui – faites-le après cette recette. La gourmandise généreuse est LE remède aux lendemains gris. À vos fourchettes bancales !

Astuces de cheffe pour un résultat pro à la maison

Les chefs d’apparat, franchement, ils oublient toujours de vous dire le vrai secret : c’est pas le diplôme qui fait la tendreté du sot-l’y-laisse, c’est l’art du repos et du tranchage !

Comment conserver la tendreté du sot-l’y-laisse

On ne rigole pas avec la volaille : la tendreté ne se négocie pas. Voici mon guide des techniques d’élite (celui qui fait frissonner les viandards lyonnais) :

  • Repos sous feuille d’alu : Sortez vos morceaux dorés de la poêle, déposez-les sur une assiette propre et couvrez direct d’une feuille de papier alu. Laissez-les "chiller" cinq minutes. Le jus repart dans toutes les fibres – effet coussin moelleux garanti !
  • Découpe dans le sens des fibres ? Non, DIAGONALE ! La diagonale, c’est comme un solo de guitare en plein bouchon : ça donne du moelleux même aux morceaux rebelles. Résultat : jamais sec, toujours sexy.
  • Servez chaud, tout de suite – ou rien ! Si vous attendez trop longtemps, même le plus tendre des morceaux finit par tirer la tronche (on parle bien du sot-l’y-laisse).

Checklist anti-chute libre gustative :
• Repos 5 min
• Découpe diagonale
• Servir immédiatement

Que faire des restes (bowl détox’ furieux et sandwich gourmet)

Vous pensiez que les restes allaient finir tristement au fond du frigo ? C’est mal me connaître !

  • Bowl détox’ furieux : Mélangez vos morceaux froids avec quinoa tiède, pickles maison (carottes ultra rock-star), pousses d’épinards et sauce yaourt-citron. Effet lendemain clean & musclé assuré.
  • Sandwich gourmet punchy : Pain de campagne — tartinez généreusement moutarde à l’ancienne et insérez sot-l’y-laisse émincé avec roquette et oignons frits. Votre pause dej’ ne ressemblera JAMAIS plus à celle du voisin.
  • Farce moulinée façon bouchon : Passez les restes au Moulinex ou autre hachoir (si vous n’en avez pas, couteau bien aiguisé et patience de gone). Mélangez aux herbes fraîches, zeste de citron, petit suisse ou faisselle… Et hop ! En farce pour ravioles ou petits pâtés improvisés – effet bouchon maison assuré.

Anecdote à croquer : Un vieux chef des Pentes me disait qu’un reste de sot-l’y-laisse conservé dans une boîte étanche (avec un bout de citron dedans) garde sa tendreté DEUX fois plus longtemps. Incroyable mais professionnel !


La gourmandise généreuse est le seul remède aux lendemains gris – je vous le sers sur plateau avec remerciements.

Conclusion croustillante et invitation à la prochaine aventure culinaire

Assiette gratinée de sot-l’y-laisse de poulet et de dinde avec sauce crémeuse, style bouchon lyonnais

L’esprit pop-rock-terroir de la recette

  • Spoiler : ça finit toujours en gratin ! Le sot-l’y-laisse, boosté en mode rock’n’roll lyonnais, explose les standards du confort food (et ridiculise le filet mignon sans remords).
  • Légumes et sauces ont leur revanche. Chaque carotte, chaque herbe, fait le show — c’est Woodstock dans ta cocotte.
  • La gourmandise est une arme anti-grisaille. Plus un lendemain triste n’osera pointer son museau face à une poêlée aussi burlesque.

À vos fourchettes et bon appétit !

Appel à l’action décalé

Si tu t’es régalé(e) ou que tu veux montrer au monde ton gratin qui déchire, dégaine la photo sur Insta ou TikTok et tague-moi : @eurydicegoudron_chef (promis, je like même les assiettes bancales).

Et reste dans les parages : prochain round, on part à l’assaut des légumes moches sublimés façon after des Halles – avec du peps et des punchlines encore plus gratinés !

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