Les 3 meilleures adresses pour savourer des sushis à Lyon
Wasabi (Lyon 7) : la pâte de wasabi maison qui réveillera vos papilles
Imaginez un instant : un restaurant où la déco tutoie le kitsch assumé et la tradition sans jamais baisser le rideau, c’est-à-dire chez Wasabi dans le Lyon 7. Ici, le sushiman n’a pas froid aux baguettes : il râpe son wasabi minute, sous vos yeux médusés (et vaguement en alerte), avec une gestuelle si parfaite que même Daniel LaRusso poserait sa serviette. Pas de tube industriel au goût de greenwashing ici : leur pâte verte est faite maison, relevée et piquante juste ce qu’il faut pour vous faire cligner des deux yeux comme devant une rediff’ du Bigdil (mais en mieux).
Ce wasabi vous réveille plus vite qu’un café serré.
Ambiance burlesque assurée, clientèle hétéroclite, tables légèrement bancales (non, ça n’est pas une blague), et surtout, cette obsession du détail : le riz est moelleux, chaque sushi est calibré avec l’exactitude d’un horloger suisse en pleine crise existentielle. Spoiler : ça finit toujours en gratin… de compliments autour du comptoir.

Chez Fyfy (Lyon 2) : farandole de makis et sashimis ultra-frais
Ici, on ne coupe pas les sashimis à la va-vite : Chez Fyfy, j’ai vu des novices hypnotisés par la découpe digne d’un film de sabre improbable (Samouraï Gourmet sur Netflix ? C’est de la gnognotte à côté). Le chef manie son couteau comme s’il préparait un duel contre une bande affamée de Ronins du Vieux-Lyon — efficacité tranchante garantie. À vos fourchettes bancales !
Côté assiettes :
- Maki California Saumon-Avocat (la superstar locale)
- Sashimi Thon ultra frais qui claque sous la dent
- Maki Tempura Crevette pour les crunchers compulsifs (je plaide coupable)
- Futomaki Anguille Grillé
- Sushi Saumon Classique, valeur sûre mais jamais planplan
Lors d’un vendredi soir particulièrement épique, le chef a sorti une lamelle de thon si fine qu’on aurait pu écrire dessus l’hymne national japonais. Ça n’a pas changé ma vie, mais j’ai vu pleurer un hipster.
Komé Izakaya (Lyon 2) : l’esprit izakaya et ses petites bombes gustatives
Chez Komé Izakaya, oubliez les repas guindés : ici c’est ambiance survoltée façon izakaya japonais revisité à la sauce Croix-Rousse. Ça piaille, ça trinque au saké local ou à la bière artisanale lyonnaise sous néons pastel — point bonus si vous arrivez à ne pas lancer votre serviette sur le voisin tellement c’est vivant.
Côté papilles : voici trois bombes gustatives qui font rugir les amateurs de saveurs franches :
- Yakitori revisités avec sauce caramélisée-miso presque insolente,
- Gyozas crousti-moelleux, twistés aux herbes fraîches lyonnaises (si si),
- Tataki de bœuf sauce ponzu, clin d’œil carnassier au terroir local — eh oui, un bœuf bien élevé se marie aussi fort bien avec une IPA du coin.
⭐️⭐️⭐️⭐️ (4/5) — ambiance survoltée !
Conseils pour choisir un sushi d’exception à Lyon
Fraîcheur et provenance des poissons
On ne va pas se mentir : le poisson pas frais, c’est le ticket pour une nuit blanche (et pas pour les bonnes raisons). À Lyon, certains spots comme Sushimasa bossent en flux tendu avec des livraisons quotidiennes – j’ai vu un thon livré à 7h et mangé à 12h, pas moyen de faire plus court. Chez Lipopette, on mise sur les produits locaux : truites de la Dombes, œufs de saumon qui n’ont pas pris le TGV depuis Oslo. On est loin du poisson congelé-depuis-Noël dernier.
Tableau comparatif fraîcheur/poisson :
Restaurant | Type de poisson | Origine | Fréquence de livraison |
---|---|---|---|
Sushimasa | Thon, Saumon | Atlantique, Norvège | Tous les jours |
Lipopette | Truite, Œuf de saumon | Région lyonnaise | 2-3 fois/semaine |
Wasabi | Saumon, Maquereau | Écosse/Japon | Tous les matins |
Un bon sushi commence au port… ou dans la Dombes !
Savoir-faire du sushiman et techniques de découpe
Je ne vais pas sortir mon sabre laser (pas encore), mais un vrai sushiman fait dans la précision chirurgicale. Oubliez le sushi carré qui ressemble à une brique LEGO — ici c’est trois techniques qui font toute la différence :

Checklist “observateur compulsif” :
- Hira-zukuri (Chez Wasabi) : découpe rectangulaire classique pour le sashimi. Le geste doit être net, jamais hésitant ; si c’est tremblotant, fuyez !
- Usu-zukuri (Chez Fyfy) : tranches ultra-fines façon carpaccio japonais. Presque translucide. Ici l’humilité du chef se mesure à l’épaisseur de la tranche : moins d’1mm sinon rien.
- Kaku-zukuri (Komé Izakaya) : cubes parfaits pour les tartares ou chirashi. Attention, chaque face doit être aussi régulière que le brushing d’un présentateur télé bien payé.
Anecdote technique mais vraie : certains chefs aiguisent leur couteau avant chaque service avec une pierre importée du Japon… Juste pour éviter “l’arrachement moléculaire” de la chair ! Oui monsieur-dame.
Ambiance, décor et service : on mange aussi avec les yeux
Ici je dis stop aux restaurants dont l’ambiance évoque une salle d’attente chez le dentiste. À Lyon tu trouves tout : décor minimaliste feutré chez Sushimasa (ça rassure même ta belle-mère), lounge rétro chez Komé Izakaya avec banquettes moelleuses et lanternes suspendues. Mais attention : y’a aussi l’excès inverse — néons fluo qui te cramponnent la rétine façon boîte des années 90! J’ai même vu une fois un sumo lumineux géant… Absolument non homologué par l’office du bon goût.

Les meilleures adresses de sushis à Lyon et en banlieue
Lyon 2 : Chez Fyfy, Komé Izakaya
Chez Fyfy : Le refuge des sashimis si soyeux qu’ils pourraient servir de crème hydratante. Ici, la découpe est tellement précise qu'on jurerait que le chef utilise son couteau pour résoudre des équations différentielles. Un soir de pluie, la patronne a lancé un concours de pliage d'origami EN ALGUE NORI. On m’a vu rater mon cygne mais gagner une assiette bonus (la vraie morale : osez demander l'improbable !).
Komé Izakaya : Ici, c’est la farandole des tapas nippons et du saké qui frise l’indécence – ambiance déjantée garantie, service qui tutoie la pop culture, déco inspirée par les films d’animation japonais (le chat-bus sur le mur n’est pas une hallucination). Les gyozas y sont si crousti-fondants que même un onigiri s’en sentirait complexé.
Résumé glouton :
- Chez Fyfy : sashimis soyeux
- Komé Izakaya : tapas & sake
Lyon 7 : Wasabi, Sushimasa
Adresse | Point fort n°1 | Point fort n°2 |
---|---|---|
Wasabi | Véritable wasabi maison râpé minute | Chef pédagogue aux punchlines |
Sushimasa | Rigueur japonaise façon horloger suisse | Poissons livrés tous les matins |
Le duel ? Chez Wasabi, on te sert le wasabi maison avec la philosophie d’un maître zen… mais version stand-up ! Quant à Sushimasa, c’est la rigueur froide : poisson ultra-frais et sushi calibré au millimètre près – pas un grain de riz ne dépasse sous peine de sanction cosmique.
Lyon 1 : Hayao Miyazaki, Haru Sushi Bar
Imaginez un face-à-face burlesque entre deux écoles opposées du sushi :
- Hayao Miyazaki (Lyon 1) : Ici tout est poésie. Le décor transpire le Totoro revisité, chaque assiette raconte une histoire — un maki dragon qui vous fait voyager plus loin qu’un ticket TCL. Service rêveur mais jamais à côté de ses chaussettes.
- Haru Sushi Bar : Place au design épuré façon Tokyo néo-industriel — spots minimalistes, ambiance laser-blanche, sushi servi dans des bento dignes d’Instagram (même ton ex vegan approuverait l’esthétique).
Mon verdict : Miyazaki, c’est le Miyazaki du goût ; Haru, c’est le design qui éclate (mais côté fun pur… je vote dragon qui danse sous la pluie !).
Lyon 3 : Haiku, Lipopette
Haiku joue la carte du zen absolu dans le sushi ; Lipopette s’autorise tous les mélanges barrés entre terroir lyonnais et Japon :
- Makis « Saint-Marcellin mangue » (oui… tu as bien lu),
- Gunkan au tartare de bœuf sauce ponzu,
- « Nigiri Dombiste » truite locale + condiment foin,
Top créations originales donc :
1. Saint-Marcellin mangue chez Lipopette ;
2. Chirashi saumon-yuzu chez Haiku ;
3. Gunkan bœuf ponzu chez Lipopette.
Et si tu n’aimes pas… c’est que t’as peur du mélange (ou que tu as raté la réunion intergalactique du goût) !
Lyon 8 & Caluire : Toasushi, Petit Osaka
Il faut parfois sortir du centre pour croquer dans l’exceptionnel à prix humain. Toasushi (Lyon 8 ou Caluire) aligne gamme chirashi-chirashow et brochettes yakitori pour budgets sérieux sans être austères ; salle cozy ou terrasse en bonus pour avaler ton sushi sans croiser ta voisine reloue.
Petit Osaka mixe tradition et clin d’œil street food japonaise sans se prendre la tête — poke bowls costauds côté garniture et sushis honnêtes sur nappe en plastique colorée. À tester pour casser ta routine centre-ville !
🍣🍺 note qualité/prix : 4/5 — et je signe avec ma baguette tordue.
Bons plans sushi : formules, livraisons et budget
Sushi à volonté vs carte à l’unité
J’annonce : Lyon, c’est le duel au sommet entre les temples du « à volonté » et les puristes de la carte. D’un côté, les buffets en mode marathon (ma ceinture s’en souvient encore), de l’autre, le sushi minutieux qui coûte un bras mais t’envoie des papillons dans la bouche.
Comparatif express formules à volonté / unité – Lyon centre vs périphérie :
Formule | Prix moyen | Avantages | Inconvénients |
---|---|---|---|
À volonté (centre-ville) | 16–19€ midi / 25€ soir | Manger sans limite, idéal pour faims XXL, ambiance conviviale | Qualité variable, risque d’overdose |
À volonté (périphérie) | 12–17€ midi / 20–22€ soir | Prix plus doux, salles moins bondées | Moins de choix parfois |
Carte à l’unité (centre-ville) | 18–35€ repas complet | Sushis sur-mesure, fraîcheur souvent au rendez-vous | Addition qui grimpe très vite |
Carte à l’unité (périphérie) | 14–27€ repas complet | Bons plans cachés, accueil souvent plus sympa | Risque de tomber sur du congelé |
Résumé pour ceux qui ne lisent que les tableaux : à volonté le midi = cheat code du lyonnais fauché !
Livraison, click & collect et kits à assembler chez soi
Croire qu’on va rivaliser avec Jiro dans sa kitchenette de Chaponost ? Spoiler : ça finit souvent en noodle party et riz collant jusque dans la chaussette. Mais restons sérieux deux minutes.
Top services pour se faire livrer ou retirer ses sushis (oui, même si tu vis à Pierre-Bénite ou Craponne)
- Katana Sushi’n’Wok (Vénissieux/Lyon Est) – livraison et click & collect efficaces ; makis costauds même après le trajet.
- Lipopette – produits locaux bien balancés, retrait rapide Terreaux/Foch ; mention spéciale pour la sauce soja maison qui relève tout.
- Sushi Shop – tentaculaire sur toute la métropole avec des créneaux tardifs ; pratique pour les insomniaques du maki.
- Lyon Eats – plateforme généraliste mais ultra-flexible sur les horaires.
- Nagoya – buffet japonais aussi dispo en click-and-collect si tu veux banqueter direct au parc (!).
Et côté DIY : certains menus proposent vraiment des kits à assembler chez toi (riz vinaigré livré séparé + poisson tranché + feuille nori prête à rouler). C’est fun pendant sept minutes – le temps de comprendre que ton rouleau ressemble franchement à un burrito malheureux… Mais victoire : c’est mangeable et instagrammable.
Budget moyen et rapports qualité-prix
Soyons cash : Lyon ratisse large. Comptez 10 € pour un menu express, jusqu’à 60 € la dégustation six services chez les snipers du sushi de compétition !
La médiane honnête tourne autour de 20–30 € le midi, un peu plus le soir (et n’espère pas t’en tirer sans supplément boisson ou edamame vicieusement facturé). Petites adresses périphérie = économies, spots branchés Presqu’île = addition vénère…

Checklist anti-douleur resto japonais :
- Analyse toujours la formule midi avant de commander « à la carte » – tu pourrais perdre un rein sinon !
- Ne te laisse pas avoir par l’appel du combo gyoza-soupe-miso + dessert industriel… parfois mieux vaut deux vrais makis en plus.
- Partage ton plateau XXL avec un pote : certains restos facturent moins quand on commande groupé (astuce non homologuée par mon banquier mais testée maintes fois).
Après les sushis, découvrez les crêpes lyonnaises
Prolongez l’aventure bretonne : lien interne vers Crêperies à Lyon
Avouez, qui n’a jamais rêvé de passer d’un maki saumon à une galette de blé noir sans cligner des yeux ni changer d’arrondissement ? Eh bien, moi si — et je vous mets au défi d’y survivre sans faire sauter un bouton de chemise. Parce qu’une fois le dernier grain de riz collé à ta joue, la vraie question c’est : où trouver LA crêpe qui saura te cajoler le palais et absorber dignement ton trop-plein de sauce soja ? (Oui, un vrai problème moderne.)
Dans cette ville où même le reblochon flirte avec la farine bio, Lyon dégaine une escouade de crêperies bretonnes prêtes à dégainer galettes traditionnelles et crêpes sucrées en mode fest-noz urbain. Entre farine de sarrasin planquée sous nappes à carreaux, kir breton servi avec clin d’œil complice et brunchs à volonté qui font fondre le plus froid des gone, impossible de rester stoïque.
Je vous laisse donc naviguer sans boussole vers la suite du banquet sur Crêperies à Lyon : top adresses et spécialités bretonnes – attention, les papilles voyageuses risquent l’addiction.

Résumé gourmand : « Après le wasabi, place au caramel beurre salé – oui madame ! »
Conseils pour un festin sushi réussi
Choix des sauces et condiments (ne noyez pas vos nigiris)
Oyez, fans de la trempette frénétique et du sushi dégoulinant : stop au naufrage du nigiri dans la mer soja ! J’ai vu des sashimis se suicider dans la sauce, c’est moche (et ça ruine littéralement le boulot du sushiman). Dans mon carnet secret, trois sauces sortent du lot — à manier comme un sensei ou pas du tout.
Checklist des trois sauces essentielles et leur usage :
- Sauce soja légère : juste effleurer le poisson, pas le riz (sinon, tu rates ta vie ET ton sushi). Préfère une version réduite en sel si tu veux survivre plus d’un round.
- Mayonnaise pimentée maison : sur les makis tempura ou california rolls généreux. La vraie astuce, c’est d’en mettre UNE goutte, sinon ça vire au concours de grimaces…
- Wasabi frais râpé minute : à doser selon ton ego – à mélanger éventuellement avec la sauce soja si t’aimes vivre dangereusement (trop c’est trop, et après tu pleures devant tout le monde).

Conseil bonus : Les sashimis aiment aussi une pointe de yuzu ou un combo sauce ponzu maison. L’acidité réveille tout sans noyer personne. Si tu verses tout d’un coup ? Dis adieu aux saveurs… et bonjour à la sanction morale.
Accords inattendus : bière artisanale ou saké surprise
On ne va pas se mentir : qui boit encore de la bière japonaise fade quand les brasseries de Lyon et Caluire te pondent des breuvages qui claquent autant qu’un solo de guitare électrique au Ninkasi ? La binouze locale, c’est l’accompagnement légal ET gustatif du chirashi – parole d’aficionada !
« Un chirashi sans IPA locale, c’est comme Ken le Survivant sans musculation : ça n’a aucun sens. »
Mon kiff absolu ? Un chirashi saumon-yuzu escorté par une blonde artisanale de chez La Plante du Loup ou Ninkasi Blonde — amertume fine qui réveille le gras du poisson mieux qu’un shot de wasabi en intraveineuse. Et oui, j’ai testé l’accord saké sec/bière douce (spoiler : chacun son tour mais jamais à égalité).

Pour les puristes : le saké artisanal (pas celui vendu au litre chez Métro) fait merveille sur les sashimis raffinés. Mais rien n’égale l’alliance bière cool/maki crunchy… Le reste c’est du folklore – sauf si t’es en compétition officielle, auquel cas je rends mon tablier.
Étiquette express pour briller en société (ou pas)
Tu veux dominer la tablée sushi comme un boss ? Cinq commandements pour ne pas finir viral dans une vidéo « fail » :
- Jamais planter tes baguettes dans le riz (signe funéraire, bravo l’ambiance !)
- Ne passe pas ton maki à autrui avec tes baguettes… sauf si tu vises l’expulsion familiale directe.
- Trempe uniquement le poisson dans la sauce soja (voir ci-dessus), jamais le riz. Sinon, honte éternelle.
- Slurper sa soupe miso discretos = accepté ; faire vibrer toute la salle = exclu.
- Tu as droit aux doigts pour manger nigiris/makis. Oui oui. Mais lave-les avant, merci !